Premiere journee de travail

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 07/05/2007

Seleste etait arrivee tot le matin. L'air etait toujours frais et une petite brise souflait dehors. Elle ne voulais pas etre en retard pour sa premiere journee de travaille. Elle etait donc vetue d'une simple robe orientale blanche. Ses cheveux etait orne d'une seule fleur blanche et elle portait son plus beau sourire. Lorsqu'elle passa la porte son sourrir se transforma en moue desolee. Elle avait esperer qu'il y ai quelqu'un mais il ne semblait y avoir personne. Mais les portes etait ouverte donc le barman ou le cuisinier devait se trouver dans la cuisine.

*pourquoi je doit toujours etre seule partout?*

La jeune femme soupira puis se dirigea vers l'un des tabouret et attendit que son patrons se pointe. Decidement la journee serait longue si l'endroit restait silencieux comme sa...

Ariane ne sortait plus très souvent du manoir où elle avait élu domicile quelques années auparavant. Renfermée à l'intérieur de ces murs froids et durs, elle ne se plaignait pourtant pas, heureuse d'avoir survécu à ce qui avait tué sa mère. Pourtant, ce jours-là, elle avait prétexté une commission pour sortir et aller prendre l'air. Elle ,e savait pas pourquoi, mais elle sentait comme si sa peau la démangeait, demandant les rayons apaisnts du soleil. Dehors, l'air était frais, le paysage balayé par une légère brise fraiche. Ariane marchait dans le paysage désert de la ville, se satisfaisant du fait qu'il était encore trop tôt pour qu'il y ait beaucoup de monde dans les rues, se demandant ce qu'elle pourrait bien faire du peu de temps libre dont elle disposait avant que l'on se demande ce qu'elle faisait. C'est à ce moment qu'elle passa devant un bar, et, sans réfléchir, elle en poussa la porte et entra.
Le bar était vide, et à première ue il était tout sauf accueillant, glauque même. Poutant, en jetant un regard autour d'elle, Ariane vit unejeune fille, assise sur untabouret, qui semblait attendre quelque chose. Elle hésita mis se dit que c'était trop tard pour reculer, aussi elle se dirigea vers elle avec son habituel sourire jusqu'aux oreilles.

-Bonjour ! Vous attendez quelque chose ?

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Seleste n'etendit pas la jeune fille entrer et, lui faisant dos, ne la vit pas non plus. La jeune femme sursauta lorsqu'elle entendit une voix dans son dos. Elle se retourna prestement vers la personne qui lui avait parler. Toujours avec son sourire elle jaugea la personne devant elle, elle ne devait pas etre tres vieille et semblait se rebeller contre quelque chose avec se look. Probablement ses parents.

-Non non, mais oui en fait. C'est ma premiere journee de travail et je ne trouve pas mon boss...

Seleste soupira. Jamais elle n'aurait crus que sa premiere journee de travaille serait aussi plate. Mais bon il y avait un client potenciel sur place. Peut etre que c'etait un teste? Seleste se leva de son tabouret pour faire place a la jeune demoiselle.

-Alors...je peut te servir quelque chose?

Ariane ne se fit pas prier pour s'asseoir sur la tabouret et s'accouda sans attendre au comptoir. Elle hésita à commander quelque chose, se demandant si la raison devait l'emporter sur sa soif nouvelle. Mais, bien sûr, ce n'était pas son genre d'écouter le petit ange miniature qui parlait dans son oreille et elle se laissa aller à la tentation qui la prit de commander une boisson.

-Alors, je voudrais...

Elle regarda en l'air, donnant l'impression de réfléchir intensément ; mais la grimace qu'elle faisait lui donnait plutôt l'air d'une de ces actrices de films muets qui doivent exprimer leurs sentiments autrement qu'avec la parole. Mais même si elle n'était pas aussi concentrée qu'elle en avait l'air, elle se demandait bien ce qu'elle pourrait commander à boire. Finalement elle préféra laisser tomber, considérant que ce genre de décision ne devrait pas prendre plus de vingt secondes dans la vie d'une personne.

-Boaf, servez-moi ce que vous voulez ! fit-elle en haussant les épaules.

Elle se redressa avec un sourire enfantin et appuya ses mains sur le tabouret entre ses jambes, prenant la même position qu'un bambin jouant aux cubes. Elle soupira à la pensée qu'elle devrait bientôt retourner au Manoir mais chassa cette idée de sa tête, préférant se focaliser sur l'instant présent, au moins du moment qu'il était plus agréable que le futur.