Ariane

Nom : /
Prénom : Ariane
Age : 16 ans
Sexe : Je vous laisse deviner, c'est pas si dur... XD))
Sexualité : Elle n'y a jamis réfléchi, pensant que ça viendra tout seul le moment venu

Famille : Elle est à présent orpheline
Esclave de : Euh... A qui la voudra !



Description physique : Ariane n'est ni trop petite, ni trop grande, et sa morphologie n'a rien à envier de n'importe quelle fille de son âge, bien qu'elle ne soit en aucun cas la plus belle ou la mieux formée. Ses vêtements toujours sombres laissent deviner que le sourire joyeux et la bonne humeur qu'elle affiche quotidiennement ne sont qu'une façade, même si on porrait la croire constamment heureuse et papillonnante. Ses cheveux bruns et lisses sont toujours coiffés originalement et sa frange cache toujours ses yeux d'un brun sombre, si profond que si on s'en approche trop, on riquerait d'y tomber. Elle aime se maquiller, habituellement de couleurs sombres ; c'est une manie chez elle de se cacher derrière une sorte de mur, une façade la cachant réellement, comme le maquillage ou une fausse bonne humeur.



Description morale : Vous l'aurez compris, Ariane n'est rien de ce qu'elle laisse paraître. Elle est toujours souriante, chantante, papillonnante et tout ce qui finit par -ante, mais au fond d'elle-même elle n'a jamais oublié la mort de sa mère, et la déprime la prend bien plus souvent qu'elle ne le laisse croire. Mais d'apparence, c'est une fille joviale et joueuse, qui aime rire et faire la fête. C'est le cas, en un sens. Elle aime l'humour et même si beaucoup de ses blagues restent incomprises, elle en rit toute seule et s'en contente largement. Elle aime la solitude, bien que le fait d'être seule lui fasse plus de mal que de bien, et les grands commités la dérangent plus qu'autre chose. Elle apprécie tout ce qui est sombre, mais même si on pourrait la qualifier de gothique elle a quelques côtés hippie indéniables.



Passé : C’était une de ces nuits de printemps où tout est calme, silencieux, où même l’air que l’on respire semble avoir une valeur apaisante sur quiconque prend le temps de profiter du silence. Au milieu d’une immense forêt, dans un petit village endormi, une seule maison était encore allumée. A l’intérieur, une femme tenait dans ses bras un enfant, petit et si fragile, et elle regardait ce cadeau du ciel avec tout l’amour et toute l’affection qu’une mère peut avoir pour son enfant. Elles étaient seules, la mère et la fille, mais du genre de solitude dans laquelle on se complait jalousement lorsque l’on est à deux. Plus rien n’existait autour d’elles ; les draps encore ensanglantés de la naissance de l’enfant, la minuscule chaumière simplement éclairée par un feu mourant dans l’âtre de la petite cheminée et modestement meublée du strict minimum, au-dehors les bois sombres qui semblaient s’être approchés pour admirer la naissance de l’enfant… Plus rien n’avait d’importance, à part cette magnifique princesse endormie dans les bras de sa mère.

Ariane était née.

Elle et sa mère vécurent des années merveileuses. Elle ne connut jamais son père, mais le manque dot souffrent la plupart des enfants de famille monoparentale ne la toucha jamais, tant l'amour que sa mère luiportait était fort et enlaçant. Elle grandit dans la quiétude de l'enfance, au milieu des travaux de la ferme qu'elle habitait et des jeux de petite fille qui accompagnent chaque enfnce digne de ce nom. Bref, rien ne venait troubler sa croissance parfaite, jusqu'au jour où sa mère disparut.

Son enfance touchait alors à sa fin, et les premiers signes de l'adolescence venaient agiter leur vie commune. Mais elles étaient heureuses, malgré tout. Ce fut un jour comme les autres, ensoleillé et chaud, qui promettait plus de joie encore que de coutume. Pourtant... La mère d'Ariane partit dans les champs en fin de matinée afin de récolter de quoi faire un maigre repas, car elles étaient pauvres et travaillaient dur pour le peu qu'elles avaient. Elle ne revint jamais. Ce fut aussi simple que ça, mais cette belle journée qui avait tourné au cauchemar rsta à jamais dans la mémoire d'Ariane.

Seule et désemparée, elle resta plusieurs jours enfermée chez elle, attendant sans grand espoir le retour de sa mère. Elle ne mangeait pas, ne buvait pas, restant terrée dans un coin, comme taumatisée, et ce fut au bord de la mort qu'elle décida d'aller chechr sa mère au lieu de rester là à ne rien faire. Elle ne tint pas bien longtemps et s'évanouit après quelques minutes de marche sous le soleil brûlant de l'après-midi. Quand elle se réveilla, elle se trouvait dans un château. On s'occupa d'elle, on lui donna à manger et à boire et un endroit où se reposer. C'est ainsi que commença son travail au service du Manoir, mais jamais elle ne raconta a disparition étrange de sa mère.

Bienvenue jeune esclave!
Amuse-toi bien parmi nous et n'oublie pas de voter!^^
Belle fiche, validée!!

Bienvenu et amuse toi bien!!